Nouvelle année, 12 nouveaux chapitres, 365 nouvelles chances de visiter l’Afrique. Pour cela nous allons vous donner quelques pistes de destinations à découvrir absolument cette année . 1. Afrique du Sud On commence avec l’Afrique du Sud. Il s’agit d’une des destinations les plus étonnantes et variées de la planète. Elle est souvent décrite comme «le monde dans un pays» parce qu’elle possède tout: des déserts, forêts, savanes, montagnes, plages, îles, réserves de gibier et des villes galvanisantes. Alors, c’est parti pour votre tour du monde en 80 jours sans quitter l’Afrique du Sud. C’est parti pour voir la faune africaine, profiter d’une gastronomie exceptionnelle, de vins locaux, de plages, de sports de toutes sortes, des baleines, des fleurs, des diamants, des voyages en train et surtout des hommes et des femmes … On pourrait continuer comme ça encore 1000 mots mais on vous laisse écrire la suite … 2. Djibouti C’est un petit pays d’Afrique de l’Est qui collectionne un lot de voisins assez hétéroclites : L’Érythrée au nord-ouest; la Somalie au sud-est et l’Éthiopie qui entourent à peu près tout le reste. On se rend à Djibouti en 2018 pour la particularité des paysages que seul peut-être l’Islande, […]
Les Africains en général, je crois, ont toujours été impressionnés par l’Ethiopie. Quand on dit Éthiopie, on pense à la bataille d’Adjoua, au roi Ménélik II, au roi Haile Selassié et bien sûr aujourd’hui à sa compagnie aérienne, Ethiopian Airlines. Mon avion a atterri à Addis-Abeba (Addis) un dimanche matin à 7h30. Je voyageais avec Ethiopian Airlines. À la sortie d’avion, nous sommes montés dans un bus en direction du terminal de l’aéroport. Je passe les formalités de douane (passeport, visa et carnet de vaccination à la main) puis je m’engouffre dans le terminal, direction le carrousel à bagages. Alors que j’attendais tranquillement mes bagages, qui ont mis 1h de temps pour sortir, première coupure de courant ! Pas de panique, le générateur de l’aéroport a pris le relais après une interruption d’environ 1 à 2 minutes. Une fois les bagages récupérés, je me dirige vers la sortie, et cherche le comptoir de mon hôtel. Après avoir demandé à deux comptoirs, je finis par le repérer. Coup de chance, il y avait déjà une touriste chinoise qui était là et qui n’en était pas à sa première fois à Addis. Je lui ai donc demandé comment ça se passe et […]
D’Addis Abeba à Harare, en passant par Dire Dawa, cette série de photographies reflète la vision de mon premier voyage en Afrique. Il est difficile d’en parler sans tomber dans les clichés, sans parler de terres de contrastes et de disparités. On y verra les foules de demandeurs d’emploi d’Harat Kilo, les ruelles pavées de la vieille ville d’Harare, les chantiers de Kazanchis. Si on regarde distraitement, on peut y voir l’image rassurante d’une Ethiopie hors du temps, à l’image du continent dont elle héberge l’union politique. Si on regarde un peu plus longtemps, on pourra y voir un pays et une ville en pleine mutation, où la jeunesse dorée se prélasse dans les bars de Debre Zeyit. Textes et Photos de : Arnaud Paillard Le site du photographe
Dans chaque ville africaine, les visites des marchés sont des incontournables. C’est le meilleur moyen de s’offrir quelques souvenirs locaux. A Addis-Abeba en Ethiopie, le Merkato est un MUST-GO. Vous ne pouvez pas quitter la capitale éthiopienne sans y avoir « chillé », ne serait-ce que quelques heures. Du haut de sa colline, le Merkato est recensé comme le plus grand marché à ciel d’ouvert d’Afrique. Rien que ça. Il s’étend sur plusieurs centaines de mètres carrés et abrite plus de 150 boutiques. Pour faire simple, on y trouve DE TOUT. Des somptueux tissus, des épices, de la nourriture, des objets artisanaux, des produits recyclés, des vêtements… Et évidemment, tout se négocie. Beaucoup de produits locaux y sont vendus, avec en tête de liste le bien-connu café éthiopien. Le Merkato grouille de ruelles et petites boutiques et vous y trouverez forcément votre bonheur. Pour l’histoire, le Merkato a vu le jour pendant l’occupation de l’Ethiopie par l’Italie, d’où le nom d’origine italienne (« merkato » signifie « marché » en italien et « nouveau marché » en amharic). Crédits photos : Dave Proffer, Sarah Tz, Life in Abundance, Neiljs, Alvise Forcellini
“We just want to skate”. Pouvoir traverser les rues d’Addis Abeba et autres contrées éthiopiennes planche aux pieds, c’est tout ce que demande les membres du collectif Ethiopia Skate. Alors que ce sont généralement des sports tels que le football ou le basket-ball qui sont utilisés comme vecteur d’éducation dans les pays africains, Abenezer Temesgen a lui misé sur le skateboarding !
En Juillet-Août 2012, je suis partie deux mois en Ethiopie vivre au sein du peuple nomade Afar. Dans l’espoir d’en savoir plus sur ce peuple méconnu, ou du moins principalement connu pour sa seule hostilité, j’ai décidé de me rendre sur le terrain. « Le désert dankali est le pays des coupeurs de testicules », « Ne va pas dans cette région, c’est trop dangereux et ils sont tous armés de Kalachnikovs, tu ne reviendras jamais vivante ! ». Avant mon départ de France et une fois arrivée à Addis-Abeba, des dizaines de personnes ont tenté de me dissuader de partir chez les Afars. La région Afar est la plus pauvre d’Ethiopie en matière d’infrastructures sanitaires, éducatives, économiques et sociales, et le gouvernement ne semble pas accorder de priorité pour son développement. Le taux de mortalité infantile est estimé à 350 pour 1000, les mutilations génitales féminines sont pratiquées dans l’immense majorité des familles, la sous-alimentation est chronique et le manque d’hygiène criant. Certes, la vie était extrêmement difficile : la température ne descendait jamais en dessous de 50°C, en brousse je buvais l’eau saumâtre puisée à même le sol, les repas étaient frugaux, etc. Mais l’immersion dans le quotidien […]
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